Cybernoid - Atari ST

Informations

Jeu : Cybernoid
Support : Atari ST
Année : 1988
Créateur : Raffaele Cecco
Éditeur: Hewson Consultants

Présentation

Cybernoid

Cybernoid est un shoot them up développé et édité en 1987 par les consultants Hewson pour le ZX Spectrum, et qui a ensuite été porté sur l’Amstrad CPC et Atari ST.
Il a été programmé par Raffaele Cecco.

Dans Cybernoid, les pirates ont fait irruption dans les entrepôts de la Fédération et ont volés des minéraux, des bijoux, des munitions et des armes de guerre.
Le vaisseau Cybernoid a été envoyé pour récupérer le butin volé et retourner à l’entrepôt dans un délai spécifié. Cybernoid a donc pour mission de combattre les pirates et de faire face aux systèmes de défense de leur base pour récupérer le butin volé.

Cybernoid est divisé en niveaux, chaque niveau est composé de plusieurs écrans qui sont parcourus par un système de crolling de jeu plutôt que de faire défiler. Les dangers dans chaque écran peut être différent – certains auront quelques navires pirates ennemies, des missiles à tête chercheuse, des tourelles, des ennemis indestructibles et d’autres un mélange de ceux-ci.
Cybernoid peut recueillir des power-ups pour l’assistance (dont un emitraillette arrière et des boules d’énergie qui tournent autour du vaisseau pour le protèger) et également utiliser une variété d’armes spéciales telles que des boucliers et des missiles à tête chercheuse.

Tuer des ennemis permet la plupart du temps de récupérer des power-ups ou des bijoux que le joueur peut alors s’accumuler.

Suite à la Cybernoid une suite, intitulée Cybernoid II: The Revenge, a été publié l’année suivante sur Amiga, Amstrad CPC, Atari ST, Commodore 64 et ZX Spectrum.
En 2004, il était l’un des jeux présenté sur le C64 Direct-to-TV. L’intrigue de cette suite tournait autour du retour des pirates dans un nouveau Battlestar, après avoir encore une fois pillé les entrepôts de la Fédération.

Le jeu est de difficulté croissante. Vers la fin du niveau 4 (et donc du jeu), la difficulté est à son apogée. Mais le jeu est prenant. De la réflexion sera parfois obligatoire face aux ennemis.